Fougueuse, déterminée, amoureuse : Gwendoline mord dans les sixties comme dans un fruit bien mûr. À l’image d’un Québec qui s’ébroue, au sortir de la Grande Noirceur, elle amorce sa vie de femme le poing levé et l’espoir au coeur. Du chemin du Roy à la Maison du Pêcheur, avec ses amis Paul, Jacques et Francis, elle est de toutes les manifestations, de tous les combats. Puis, en 1970, c’est la crise. Emprisonnée avec une Marie-Unique encore à naître, Gwendoline doit choisir. Rêve du pays ou chaleur d’une famille ? Attention: une révolution peut en cacher une autre. L’indépendance, yes sir !