
«Les bizuts doivent mourir pour apprendre à renaître. Sauf moi, qui resterai seule et incomprise : j’ai succombé à une barbarie qui n’a jamais eu lieu. Je suis morte et je n’ai rien appris.»
Avec une insoutenable clairvoyance, Solenn Colléter explore, à travers l’expérience limite du bizutage, la dynamique du rapport d’obéissance et de soumission au pouvoir. Un premier roman dérangeant, violente métaphore du système totalitaire.