Une enfance palestinienne. Une voix se lève, convoquant la musique, la poésie, la guerre et la résistance. Yuryur aura bientôt dix ans. Née dans un pays de merveilles, bercée par les vagues du Golfe arabo-persique, elle vit à Dubaï une enfance heureuse où se mêlent le sel de la mer et la sauge du thé de Téta Hilweh, sa grand-mère, avec qui elle passe les étés au camp de réfugiés dans une Beyrouth que la guerre défigurera.
Conte d’amour, rite de passage, récit de retrouvailles et d’adieux, liens brisés et renoués au coeur même des fissures, L’ombre de l’olivier dresse le portrait d’une Palestine qui fascine.