Textes bleus et textes d’hiver

Thierry Séchan nous offre un recueil de ses chansons préférées, de quelques poèmes sauvés du vent et de fragments d’une correspondance amoureuse. Pour faire bonne mesure, il joint à cet ensemble «poétique» un texte en prose inédit : Venise en décembre.

D’abord, Quarante chansons bleues. Pourquoi quarante ? Parce que le poète est voleur de feu et parce que, depuis Ali Baba, il y a toujours quarante voleurs. Quarante textes écrits pour Daniel Lavoie, Julien Clerc, Luce Dufault, Elsa, Dan Bigras, Philippe Lavil et quelques autres.

Ensuite, Sept poèmes rouges, sept textes rescapés de tant d’errances, de tant d’amours étrangères. Des textes laconiques, bien dans la manière de ce Spartiate de la littérature qu’est Thierry Séchan.

Après Treize lettres à mon ange, treize parmi cent-treize lettres aériennes d’un voyageur amoureux d’un ange tombé du ciel.

Enfin, Venise en décembre, texte d’hiver, s’il en est, récit de nos amours échoués à Venise, récit du triomphe de Venise sur nos amours, texte glacé d’un fou de beauté qui ne supporte pas la médiocrité des âmes.

Ces soixante poèmes et une nouvelle sont précédés de Quatre préfaces mauves ; deux de Patrick Besson, immense écrivain français et deux de Lou Séchan, la fille cadette de l’auteur, sa complice en rires et en voyages.