Selon Voltaire, il n’y a point de hasard. Jung, lui, parle du principe de la relation acausale : la synchronicité.
Nombreux sont les auteurs qui ont étudié les coïncidences fortuites, les concours de circonstances inattendus et les faits inexplicables. Le hasard serait-il une question de probabilité ? Aurions-nous une tendance innée à rencontrer des gens qui nous apprennent ce que nous avons besoin de savoir sur la vie, sur l’amour et sur nous-mêmes ?
Quiconque repense à son passé voit que l’imprévu y occupe une part considérable. Pour illustrer ce mystère des hasards, l’auteur nous raconte quelques événements qui ont marqué sa vie et qui l’ont laissé songeur.