La neige, le vent, la poudrerie, le givre éclatant, jusqu’aux craquements de débâcle. Et puis une neige de mots, blanche comme l’hiver, des mots pour dire le silence, la solitude et le froid, avec de grands frissons dans le dos. Un ange en raquettes. Et puis la femme et le bûcheron, l’une restée au foyer, l’autre au plus profond de la forêt, à Noël.
Faut-il aimer l’hiver, ou le détester ? Telle est la question que Michel Garneau pose, dans Les neiges, avec tout l’humour et la tendresse qu’on lui connaît.
Le bonhomme Sept-Heures est une fable, douce et folle, sur la peur et les mécanismes qui la sous-tendent. Ah! si on pouvait arrêter d’avoir peur juste un instant, que des projets splendides verraient enfin le jour…