Dire le chaos ou le chant d’une cigale, dire l’errance et la soif, le tintement des bocks, dire la pluie sur la joue, le soleil crépitant, l’oiseau et le ruisseau, dire l’insolite ou le quotidien, et les mains qui se cherchent, et la ride creusée, et l’espérance, jamais tarie dans la tempête qui nous porte.
À travers une quarantaine de courts textes, en vers ou en prose, dans un langage tantôt trivial tantôt classique, l’auteur nous invite à lire (et même à dire) ces mots qu’il nous offre, ces mots qui souvent sont aussi les nôtres.